Edito – Sept 2016

Offrir un accompagnement haut de gamme, sur mesure et personnalisé aux dirigeants de PME et aux familles dont le patrimoine est constitué depuis plusieurs générations… Telle est l’ambition de la Banque privée de la Caisse d’Epargne Aquitaine Poitou-Charentes. Une structure dédiée, créée en 2015 et dont les services vont de la relation bancaire au quotidien à l’optimisation du patrimoine (ingénierie patrimoniale, juridique, fiscale, financière et immobilière, etc.)… « Nous sommes présents aujourd’hui à Bordeaux, mais aussi à La Rochelle et à Biarritz, souligne sa Directrice, Florence Anquetil. Notre volonté est de répondre aux attentes des clients qui font déjà confiance à la Caisse d’Epargne Aquitaine Poitou-Charentes, bien entendu, mais aussi aux chefs d’entreprise à la recherche d’une banque privée performante, réactive et proche d’eux. » 

La Banque privée de la Caisse d’Epargne Aquitaine Poitou-Charentes, c’est une équipe dédiée comportant 3 pôles d’expertise :
– le pôle ingénierie composé d’un ingénieur patrimonial et d’un ingénieur crédit,
– le pôle middle-office disponible et rigoureux,
– le pôle de banquiers privés confirmés et expérimentés.

« Chacun d’entre eux ne gère qu’une trentaine de relations pour être parfaitement au courant de chaque situation patrimoniale et garantir ainsi disponibilité, réactivité, et donc une qualité de service optimale, précise Florence Anquetil. Tous sont à même de réagir rapidement en cas d’évolution réglementaire ou législative, par exemple, mais sont également proactifs et proposent des solutions adaptées aux exigences et à l’évolution des besoins individuels de chaque client. Notre ambition est véritablement d’offrir une expertise de proximité et de tisser une relation client de très haut niveau. Et la création de cette newsletter, véritable outil d’information et de dialogue, s’inscrit d’ailleurs dans le prolongement de cette exigence de qualité. »


Produits structurés

Comment améliorer l’orientation stratégique de vos actifs financiers ou opérer des arbitrages tactiques de court terme ?

Quand on parle investissement, on pense immédiatement aux produits de placement « classiques » de type actions ou OPCVM… Beaucoup moins aux produits structurés. Méconnus, ils constituent pourtant une alternative pertinente et flexible pour les investisseurs. A condition d’en comprendre le fonctionnement, l’utilité et leur comportement dans le temps…

Produit à capital garanti, produits de rendement, produits de participation, produits à effet de levier… Il existe aujourd’hui différentes catégories de produits structurés, déterminées en fonction de leur profil risque / rentabilité. Dans tous les cas, ces produits – appelés également produits à formule – sont conçus, sur mesure, pour répondre à des objectifs client spécifiques, dans un contexte de marché actuel et futur.

 

Un produit risqué, une rentabilité amélioré

Véritable classe d’actifs à part entière, ils sont destinés aux investisseurs institutionnels comme aux entreprises et aux particuliers. Ils vous permettent de diversifier votre portefeuille avec des produits financiers auxquels vous n’auriez pas eu accès autrement (matières premières, les monnaies étrangères, les actions émergentes, etc.) mais aussi d’améliorer sa diversification géographique. C’est également un moyen d’augmenter l’exposition aux actifs risqués, sans augmenter le risque du portefeuille, de « miser » sur une tendance de marché ou encore de vous couvrir contre des risques ponctuels.

Par ailleurs, les produits structurés vous ouvrent les portes de structures de rémunération adaptées à vos préférences : rendement annuel élevé, fort potentiel de gain, capital garanti… Au final, avec ces produits structurés, vous pouvez facilement améliorer le profil risque / rentabilité de votre portefeuille à court ou long terme.

 

Une structuration complexe dans un marché donné

Pour une meilleure compréhension, voici un exemple permettant de décomposer la structure de ce type de solution d’investissement dans un contexte de marché donné :

Objectif du produit : Proposer un produit structuré permettant de disposer d’une garantie du capital à échéance de 8 ans + un pourcentage de la hausse réalisée par le CAC 40 sur la même durée.

Pour atteindre cet objectif le produit va être constitué de deux éléments :

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Chaque composante a un coût et représentera un pourcentage de l’investissement envisagé : 

  • Coût de l’obligation « zéro-coupon » permettant la garantie du capital :capture-decran-2016-09-28-a-11-20-02
  • Coût de l’option d’achat permettant de disposer d’un pourcentage de la hausse réalisée par le CAC 40 sur la même durée :
    Lors de la structuration du produit, le prix d’achat d’une option permettant de disposer à l’échéance de 8 ans de 100 % de la performance du CAC 40 est de 20% de l’investissement.
    Or, nous ne disposons que de 15 % de l’investissement pour acquérir une option.
    On calcule alors le pourcentage de la hausse réalisée par le CAC 40 sur la même durée dont je peux disposer dans le cadre d’une option d’achat : (15% / 20%) = 75 %

Conclusion :

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L’actualité de la Bourse et du trading – Octobre 2016

Constat sur les mois passés, perspectives financières et économiques des semaines à venir, analyses de marchés… Retrouvez toutes les informations qui font l’actualité de la Bourse.
Des données économiques et financières décryptées par Jean-Jacques FRIEDMAN, Directeur des Investissements chez VEGA Investment Managers.

 

Marché. Evolution dernier trimestre et perspectives des semaines à venir

Le décrochage des marchés à fin Juin lors de l’annonce du Brexit, et qui a porté très ponctuellement les marchés en dessous des niveaux de 4000 sur le CAC 40, avec une chute de 8% des indices, a constitué le dernier épisode d’une période de forte volatilité de ce premier semestre 2016, qui avait été due au début d’année à la chute des prix du pétrole et aux interrogations quant à la croissance chinoise.

Nous anticipions pour le second semestre  une volatilité paradoxalement nettement inférieure, car les investisseurs commençaient à s’accoutumer à ces situations inhabituelles de stress, notamment géopolitique, en mettant en place des stratégies de couverture, en conservant des liquidités, ou en adoptant des styles de gestion de valeurs de croissance moins sensibles.

L’été s’est révélé particulièrement calme en définitive, avec un marché s’inscrivant durablement sur des niveaux autour de 4400 points.

Le brexit, dernier épisode de stress en date donc, n’a pas entamé la croissance européenne certes modeste mais solide, soutenue en réalité par la baisse du chômage de 2% au niveau européen depuis deux ans.

Sur les semaines à venir, le marché surveillera essentiellement les anticipations autour des élections américaines, où une victoire d’Hillary Clinton n’est toujours pas assurée.

Dans une perspective plus longue, différentes initiatives devraient continuer de se multiplier afin de relancer des initiatives budgétaires des Etats, face à l’impasse de l’utilisation de la seule arme monétaire par les banques centrales.


Produits Structurés

Vous voulez comprendre les « structurés » ? Concentrez-vous sur la volatilité. Sur les marchés traditionnels d’actions ou de taux, vous n’avez le choix que d’acheter, vendre ou vous abstenir.

Avec la notion de volatilité, vous pouvez affiner votre stratégie et réfléchir par exemple à l’amplitude du mouvement que vous anticipez. Ainsi, par exemple vous pouvez définir que vous êtes prêts à ne pas participer à une hausse des marchés au-delà par exemple de 30 %, mais qu’en contrepartie, vous souhaitez gagner davantage si le marché reste stable ou progresse modérément, ou bien garantir votre investissement si le marché perdait par exemple jusqu’à 20 %.

L’intérêt dans une allocation d’actifs ? Deux raisons : remplacer une partie de l’exposition actions ou servir d’alternative à un rendement obligataire, avec des taux au plus bas. Mais attention, vigilance exigée : dans la construction du portefeuille, les risques ne doivent en aucun cas se cumuler !


Brexit, French Bashing, 2016 : Annus horribilis ?

Alors plus « onde de choc » que véritable « choc » le Brexit ?

L’impact négatif attendu sur l’économie britannique avec une forte chute de l’investissement privé est, à court terme contrebalancé par une intervention immédiate de la banque Centrale d’Angleterre.

A ce stade, il n’y a pas de remise en cause de la dynamique économique actuelle en zone euro.

Mais n’oublions pas qu’à ce jour, le gouvernement britannique n’a toujours pas invoqué le fameux article 50 du traité de Lisbonne*. Le premier ministre britannique, Theresa MAY, indique qu’elle devrait lancer ce processus d’ici le mois de mars 2017.

Le rôle de la gouvernance européenne d’une part et des banques centrales d’autre part scellera l’impact économique de cette décision.


Vive la France ?

Alors que le « French Bashing » est à la mode, une bonne nouvelle : Les indicateurs économiques nous montrent peut-être la lumière au bout du tunnel.

– Le coût du travail dans l’industrie passe en dessous de celui de l’Allemagne ou de l’Italie, mais reste au- dessus de l’Espagne,
– Les profits des entreprises après impôt augmentent,
– L’investissement dans les PME repart.


2016 : Annus horribilis ?

L’année 2016 est-elle, à ce stade, une si mauvaise année ? Quelques éléments d’appréciation :
– L’évolution des marchés actions est assez disparate depuis le début de l’année selon les zones(+4% pour le DowJones, +9.97% pour le FTSE 100 à fin septembre vs -8.69% pour l’Eurostoxx50 et -13.58% pour le NIKKEI),
– Le Marché des dettes souveraines est globalement en hausse,
– L’économie chinoise en pleine transformation (développement de la demande interne), le taux de croissance de son PIB est attendu en légère baisse par rapport à 2015,
– Le Prix du baril de pétrole est bas, mais il se maintient à un niveau permettant l’équilibre économique de nombreux pays producteurs (OPEP et US),
– La croissance européenne est résiliente malgré le décrochage des marchés en début d’année, le Brexit, les risques d’attentat…

Mais des échéances politiques importantes à venir, pourraient aggraver cette fin d’année 2016 : Suite du Brexit, Victoire de Donald TRUMP…

Alors 2016 : ANNUS HORRIBILIS ? Le résultat des échéances des mois à venir sera crucial…

 

* Article 50
  • Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union.
  • L’État membre qui décide de se retirer notifie son intention au Conseil européen. À la lumière des orientations du Conseil européen, l’Union négocie et conclut avec cet État un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’Union. Cet accord est négocié conformément à l’article 218, paragraphe 3, du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Il est conclu au nom de l’Union par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, après approbation du Parlement européen.
  • Les traités cessent d’être applicables à l’État concerné à partir de la date d’entrée en vigueur de l’accord de retrait ou, à défaut, deux ans après la notification visée au paragraphe 2, sauf si le Conseil européen, en accord avec l’État membre concerné, décide à l’unanimité de proroger ce délai.
  • Aux fins des paragraphes 2 et 3, le membre du Conseil européen et du Conseil représentant l’État membre qui se retire ne participe ni aux délibérations ni aux décisions du Conseil européen et du Conseil qui le concernent.
  • La majorité qualifiée se définit conformément à l’article 238, paragraphe 3, point b), du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne.
  • Si l’État qui s’est retiré de l’Union demande à adhérer à nouveau, sa demande est soumise à la procédure visée à l’article 49.

La biennale du réseau entreprendre

Depuis 12 ans, Réseau Entreprendre organise la Biennale : le seul événement à la fois local, national et international fédérant aussi bien les membres des associations, les lauréats, les équipes salariés ou encore les partenaires.

Pour sa 7ème édition, qui se tiendra du 14 au 16 octobre, c’est l’association d’Aquitaine qui a souhaité accueillir et organiser, avec le concours de la Fédération Réseau Entreprendre, la Biennale à Bordeaux.

Le thème de l’édition 2016 sera « L’Assemblage des talents ». Il est au cœur de la culture bordelaise, du fonctionnement de Réseau Entreprendre et de la réussite de toute entreprise. 2.000 participants sont attendus pendant 3 jours d’Assemblage de talents grandeur nature durant lesquels ils pourront découvrir Bordeaux et sa région, s’enrichir de nouvelles idées, de belles rencontres …tout simplement vivre Réseau Entreprendre en grand.

Idriss Aberkane, Axelle Tessandier, Philippe Bloch, Alain Juppé,
Olivier Soudieux et des dizaines de chefs d’entreprise interviendront durant ces 3 jours.


Réunion du CLUB DEAL Banque Privée Caisse d’Epargne Aquitaine Poitou-Charentes

Lorsqu’un chef d’entreprise apporte des titres d’une société à une autre société qu’il détient, une plus-value est constatée et son imposition est reportée. Cette fiscalité reportée est due en cas de cession des titres apportés dans les trois ans à compter de l’apport.

A moins qu’il remploie 50 % du produit de la cession de ses titres de société ayant bénéficié d’un mécanisme de report d’imposition de la plus-value dans une nouvelle activité économique.

Le Club Deal est un club restreint d’une dizaine de chefs d’entreprise confrontés à cette même problématique : Sélectionner des activités économiques pertinentes dans un délai très court de 24 mois.
Nous avons créé un écosystème, à disposition des chefs d’entreprise cédants, sous la forme de réunions trimestrielles animées par divers acteurs capables d’accompagner des dirigeants dans cette nouvelle phase de leur parcours d’entrepreneur. »


Assurance-vie et produits à formule

Depuis quelques années, de plus en plus de contrats d’assurance vie multi-supports intègrent, en guise d’unités de comptes, des produits structurés. Une solution particulièrement intéressante compte tenu de la baisse d’attractivité des fonds en euros et de la fiscalité avantageuse de l’assurance-vie…

Un arrêt de la cour d’appel de Paris pourrait toutefois remettre en cause cette situation (CA Paris – 21 juin 2016 – n°15/00317 M.X C/ SA GENERALI VIE et SARL HORIZON PATRIMOINE).

Emis, selon les spécificités, sous la forme de titres de dette (émission obligataire, EMTN, BMTN, certificat de dépôt,…) ou sous la forme de parts de fonds, les produits structurés peuvent être souscrits « directement » ou en unités de compte, dans le cadre de contrats d’assurance-vie multi-supports. Parmi ces produits les plus récents on trouve, notamment, les « Autocall » qui, s’ils ne garantissent pas le capital au-delà d’un certain seuil de baisse, ménagent des fenêtres de remboursement anticipé sous conditions de marché.

Plus séduisante que la souscription à des fonds classiques, ces produits structurés attirent les investisseurs à la recherche de rendements élevés et conscients qu’il n’est plus possible de réaliser de bonnes performances sans un minimum de prise de risque… De leur côté, les assureurs ont trouvé là, une alternative plus qu’avantageuse aux fonds en euros dont le rendement ne cesse de s’essouffler.

Une obligation ou pas

Attention toutefois, selon un arrêt de la Cour d’appel de Paris du 21 juin 2016, certains de ces produits à formule ne répondraient pas aux exigences du Code des assurances… En effet, au vu de leur complexité, ils ne pourraient pas figurer dans la liste de produits éligibles à l’assurance vie et ne pourraient pas être assimilés à une obligation en l’absence de remboursement du capital à l’échéance. Pour cela, la Cour s’est notamment appuyée sur deux informations précisées dans la brochure de présentation du produit proposé : « Il n’y a pas de garantie en capital » et « Si le mécanisme de maturité anticipée ne s’est jamais déclenché, l’investisseur reçoit 100% de valeur du panier de référence constatée à l’échéance des 8 ans. Dans ce cas, la valeur de remboursement sera inférieure à 60% du nominal. »

Ainsi, la Cour a jugé que la caractéristique essentielle de l’obligation n’était pas acquise (ndlr : le droit au remboursement du nominal), alors même que la définition du Code Monétaire et Financier n’exige pas le remboursement au nominal (Art.L.213-5 du CMF).

De ce fait, le produit « litigieux » ne pouvait être qualifié d’obligation et n’était donc pas éligible au contrat d’assurance vie. Une décision qui pourrait sonner comme un véritable bouleversement si elle devait faire jurisprudence…


Entretien Stéphane Levé

3 questions à Stéphane Levé, Responsable du partenariat avec les Caisses d’Epargne au sein de la Banque de Grande Clientèle de Natixis, un des leaders sur les produits structurés actions en Europe, membre du Groupe BPCE. En tant qu’expert des produits structurés, il nous livre son regard aiguisé et ses conseils avisés.

 

Quel regard portez-vous sur les produits structurés ?

Stéphane Levé : Cette classe d’actifs s’est considérablement développée au cours des dernières années. Dans le contexte actuel de taux bas que nous connaissons, elle permet d’accéder à des perspectives de rendement en phase avec les attentes des investisseurs et s’avère être une excellente solution pour compléter son portefeuille. Contrairement à des produits traditionnels, tout est défini à l’avance : le rendement, la maturité qui est généralement celle de l’assurance-vie, autrement dit 8 ans, etc. C’est donc un produit que l’on construit sur-mesure en fonction des attentes du client, de ses objectifs ou encore de son appétence au risque.

 

Quels types de produits à formule ou structurés proposez-vous ?

Stéphane Levé : Tout d’abord il faut savoir que nous disposons d’une haute expertise en matière de produits structurés et que notre équipe est disponible pendant les heures d’ouverture de la Bourse… Ce qui permet de garantir à nos clients une réactivité maximale. Avec nous, il est possible de profiter de cette opportunité à partir de 500 000 euros, alors que le marché fixe le point d’entrée, en règle générale, à 1 million d’euros. Enfin, nous avons noué des partenariats privilégiés avec des fournisseurs d’indices ce qui nous permet de disposer de produits structurés innovants.
Nous mettons donc à la disposition des banquiers privés de la Caisse d’Epargne Aquitaine Poitou-Charentes une gamme de produits étendue, validée par le régulateur et les différentes conformités et permettant de sélectionner le sous-jacent le mieux adapté aux attentes du client… Des produits structurés avec une protection très élevée pouvant atteindre 90% ou plus risqués. A l’image des Autocall avec leurs coupons versés à intervalles réguliers et leur caractéristique « auto-rappelable ».

 

A ce propos, les produits structurés comportent-ils des risques pour les investisseurs ?

Stéphane Levé : Bien entendu. Mais les risques ne sont pas plus élevés que ceux qui consistent à aller en direct sur le marché actions. Ils sont tout d’abord liés à la formule même du produit retenu. Mais l’investisseur est aussi exposé à un éventuel défaut de l’émetteur (qui induit un risque de non remboursement) ou à une dégradation de la qualité de crédit de l’émetteur (qui induit un risque sur la valeur de marché du produit). Par ailleurs, en cas de revente des titres avant la date de maturité, il est impossible de mesurer à priori le gain ou la perte possible, le prix pratiqué dépendant alors des paramètres de marché du jour. Dans tous les cas, ces risques sont clairement précisés au client et figurent, d’ailleurs, sur les premières pages des documents qui lui sont remis.